Ecoceaty propose de faire le lien entre alimentation et politique de la ville, en particulier sur des projets d’aménagement urbain.
A travers des missions d’assistance à maîtrise d’ouvrage tout d’abord, Ecoceaty conçoit et intègre des « écosystèmes alimentaires durables » à la conception de nouveaux quartiers. Ces écosystèmes reposent sur le développement et la mise en réseau dans un lieu donné (quartier, ville, métropole) de projets porteurs d’innovation sociale sur tout ou partie de la chaine alimentaire.
Dans le cadre de missions de conseil, Ecoceaty intervient auprès des collectivités sur les enjeux de démocratie alimentaire attachés aux Projets Alimentaires de Territoire (PAT)
Enfin Ecoceaty collabore avec l’INRA sur des projets de recherche portant sur l’évaluation de dispositifs de justice alimentaire, circuits courts et nutrition santé.
Ce triptyque – projet urbain, politique de territoire, évaluation d’impact des projets / politiques alimentaires – permet une mise en perspective particulièrement fertile pour chaque format d’intervention
Durant une quinzaine d’années, Constance de Alexandris a travaillé dans la direction de projets immobiliers au sein de groupes divers à Paris, Marseille et Dakar.
En parallèle, son intérêt pour les questions autour du « bien manger » a d’abord été personnel. Au fil de ses découvertes et de ses rencontres, cet intérêt a évolué vers un engagement citoyen puis vers la création d’Ecoceaty afin d’intervenir concrètement sur les enjeux de transition et de démocratie alimentaire.
A travers Ecoceaty, Constance de Alexandris a en effet souhaité travailler sur le lien étroit qui unit l’alimentation et la ville car celle-ci conditionne nos pratiques alimentaires et se développe le plus souvent aux dépens des terres agricoles.
Elle met également en place des collaborations régulières avec une multiplicité d’acteurs (aménageurs, collectivités, chercheurs, acteurs associatifs…) afin de proposer des échanges et partenariats créatifs.
Constance de Alexandris a donc crée Ecoceaty pour faire le lien entre ces univers et proposer des solutions innovantes aux défis environnementaux et humains auxquels la ville ainsi que l’ensemble de la chaine alimentaire sont désormais confrontés.
Créer un écosystème alimentaire durable consiste à développer et mettre en réseau dans un lieu donné (quartier, ville, métropole) des projets porteurs d’innovations sociales sur tout ou partie de la chaine alimentaire (de la production à la consommation).
Ces écosystèmes sont spécifiques à chaque projet et chaque territoire car ils se développent en lien avec une dynamique locale, une histoire, un tissu d’acteurs existants ou pouvant endosser le rôle de relais.
Parce que l’alimentation est à la croisée de nombreux enjeux environnementaux et humains auxquels il convient d’apporter rapidement de nouvelles réponses
L’agriculture conventionnelle est en train de venir à bout de ses ressources. Elle est en effet responsable de 14% des émissions de gaz à effet de serre (GES) du fait des pesticides et engrais chimiques, auquel il convient d’ajouter 19% liés à la déforestation et enfin 18% à l’élevage intensif.
Cette même agriculture représente 70% de la consom-
mation mondiale d’eau.
Elle a entraîné la « mort organique » de 25% des terres exploitées en monoculture sans parler de la pollution irréversible de certains cours d’eau ou nappes phréatiques du fait de l’utilisation intensive d’intrants chimiques.
La déshumanisation de l’alimentation pèse d’un côté sur les agriculteurs, qui ne vivent plus de leur métier et de l’autre sur une part importante de la population qui – en perdant certains repères – a également perdu conscience de son environnement.
Enfin, la malbouffe représente en France :
Un coût de 20 milliards d’euros par an (contre 26 Md€ pour le tabac et 15 Md€ pour l’alcool).
Ce budget progressera nécessairement avec l’augmentation des personnes en surpoids, qui devrait atteindre 50% de la population d’ici 2030.
Au niveau mondial :
La planète compte sensiblement 1 milliard d’êtres humains en surpoids et le même nombre souffrant de mal/sous-nutrition.
Chaque année, un tiers de notre production alimentaire est jeté.
Un pot de yaourt à la fraise parcourt en moyenne 9.000 km et nécessite au final plus d’énergie pour sa fabrication et sa distribution que l’énergie qu’il apporte au consommateur.
MANIFESTE
Il est par conséquent urgent de revoir en profondeur notre système alimentaire en proposant :
– de nouveaux modèles de production agricole, plus proches des consommateurs tant physiquement qu’humainement
– de nouveaux circuits de distribution (ou de l’innovation dans les circuits existants) qui permettent au plus grand nombre d’accéder à des produits de qualité et de valoriser au juste prix une agriculture respectueuse de l’environnement
– des lieux évolutifs, interactifs et inclusifs qui recréent du lien et de la convivialité autour de l’alimentation
En somme, il s’agit de créer les conditions d’une véritable démocratie alimentaire qui offre à chacun la possibilité de redonner de la valeur et du sens à son alimentation.
PHASE #1 – ANALYSER
La mise en œuvre d’un écosystème nécessite au préalable d’étudier le territoire concerné au regard de ses :
• caractéristiques géographiques : réseaux, lieux de vie, desserte, espaces verts…
• ressources : entrepreneuriales, associatives, citoyennes…
• dynamiques : projets d’aménagement, mise en œuvre locale de l’Agenda 21…
• enjeux en terme social, de santé publique, de développement économique (structuration de filières…)
PHASE #2 – CONCEVOIR
• Définir avec le maître d’ouvrage les axes structurants (piliers) de l’écosystème à créer
• Décliner ces axes en actions (quoi) et en objectifs (pourquoi)
• Proposer et valider les modalités de mise en œuvre et d’animation des actions : projets, acteurs, lieux
• Travailler sur des partenariats innovants entre les différentes parties prenantes des actions (échanges de moyens, de compétences…)
• Arrêter un planning de mise en œuvre en choisissant les actions prioritaires permettant d’amorcer l’écosystème
PHASE #3 – METTRE EN OEUVRE
Assister le maître d’ouvrage et les acteurs des projets dans :
• La définition du cadre juridique : création éventuelle d’une structure juridique dédiée…
• La programmation spatiale des espaces dédiés à l’écosystème
• La définition du modèle économique de l’écosystème : coûts d’investissement, coûts d’exploitation, recettes
• La mise au point des contrats avec les différents porteurs de projet de l’écosystème
PHASE #4 – SUIVRE DANS LE TEMPS
• Tester et ajuster ces nouvelles organisations
• Évaluer l’atteinte des objectifs assignés à l’écosystème
• Pérenniser voire développer l’écosystème (quartiers limitrophes…)
• Inspirer de nouveaux projets
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